Quartier Art Drouot
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QUARTIER ART DROUOT

Pour l’édition de printemps, le Dessin est à l’honneur. En écho au Salon du Dessin  de Paris, cet événement met en lumière un médium riche et pluriel à travers des expositions présentées dans les locaux des participants. Chaque galerie, marchand et étude de commissaire-priseur propose une sélection d’œuvres qui reflète son univers, offrant ainsi une diversité de regards et d’approches. Ce parcours artistique se déploie à travers des adresses clés du quartier : rue Drouot, passage Verdeau, rue de la Grange-Batelière et rue de Provence.

LES PARTICIPANTS DE L’ÉDITION DESSIN 2025

MILLON

MILLON

GROS & DELETTREZ

GROS & DELETTREZ

ADER

ADER

Galerie Chantal Kiener

Galerie Chantal Kiener

GALERIE SOPHIE MARCELLIN

GALERIE SOPHIE MARCELLIN

GALERIE AGNES THIEBAULT

GALERIE AGNES THIEBAULT

MAREK AND SONS

MAREK AND SONS

GALERIE CHEVALET BLEU

GALERIE CHEVALET BLEU

GALERIE ARTWINS

GALERIE ARTWINS

GALERIE LAURA PECHEUR

GALERIE LAURA PECHEUR

SABINE VAZIEUX

SABINE VAZIEUX

CABINET D’EXPERTISE CHANOIT

CABINET D’EXPERTISE CHANOIT

LE CLOITRE DE L’ART

LE CLOITRE DE L’ART

Quartier Art Drouot

quartierartdrouot

Prochain événement autour du Dessin en Mars 2025
Toute l’année 20 galeries:
Rue Drouot, Rue de la Grange Batelière, Passage Verdeau, Rue de Provence

« Femmes Artistes » jusqu’au 19 Octobre Ve « Femmes Artistes » jusqu’au 19 Octobre 

Venez découvrir les galeries du Quartier Drouot
Vernissage 10 Octobre à partir de 17h30 🥂

« Femmes Artistes » au Quartier Art Drouot 
Du 10 au 19 Octobre 2024
Suzanne BOLAND VAN DE WEGHE (1913-2008) Autoportra Suzanne BOLAND VAN DE WEGHE (1913-2008)
Autoportrait
Vers 1980
Huile sur isorel
18 x 14 cm
Signé en bas à droite

Installée depuis 2010 au cœur du Quartier Drouot, la galerie le Chevalet Bleu est spécialisée en tableaux, dessins et photographies anciennes du XIXème et XXème siècles.
Béatrice APPIA (1899 – 1998) Autoportrait 1923 Béatrice APPIA (1899 – 1998)
Autoportrait 1923
Dessin au crayon et fusain
63 x 40.5 cm
Signé, daté et annoté en bas au centre

Béatrice Appia naît en 1899 près de Genève. En 1920 elle s’inscrit à l’Académie de la Grande Chaumière à Paris En 1922 elle fait successivement la connaissance des peintres : Eugène Dabit, Christian Caillard, Georges-André Klein. En 1923 elle fait la connaissance d’un autre artiste, camarade de Caillard : Maurice Loutreuil. Naissance du « groupe du Pré Saint-Gervais », formé par Maurice Loutreuil en qualité de chef de file et ayant comme membres : Caillard, Dabit, Appia et Krémègne. Elle épouse Eugène Dabit à Paris en 1927. Béatrice fait une première exposition de ses peintures dans la galerie d’art d’un grand magasin à Paris où elle recevra des critiques élogieuses. Elle expose en avril 1926 à la galerie Champigny à Paris. En 1928, de retour en France avec Dabit d’un  grand voyage au Maroc, Béatrice voit ce dernier se convertir à la littérature. En 1929 dernier grand voyage au Maroc où le couple Dabit séjourne chez Caillard à Marrakech. En 1936 Eugène Dabit, invité par André Gide, participe au voyage en URSS. Elle apprend le décès de son mari, survenu inopinément à Sébastopol le 25 août. En 1937, elle fait un premier voyage en Afrique en Casamance. En 1938, elle est à Konakry, elle fera la connaissance de Louis Blacher, gouverneur de Guinée, colonie de l’AOF. Elle l’épousera en octobre. En juin 1939, enceinte, elle revient avec son mari à Paris. En septembre elle retourne en Afrique rejoindre son époux à Conakry. Elle peint de nombreux dessins gouaches et peintures en Guinée française. Le couple s’installe ensuite à Dakar. En 1950 elle s’inscrit aux cours d’André Lhote, naissance de sa période cubiste. Elle s’inscrit également à l’Académie Jullian pour pratiquer la gravure au burin. Elle partagera ainsi ce travail avec la peinture jusqu’en 1983, c’est à cette époque qu’elle entame une longue collaboration avec la galerie de la Poste à Paris et à Pont-Aven

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
28 passage Verdeau
75009 Paris
Esther CARP (1897-1970) La Discussion Huile sur ca Esther CARP (1897-1970)
La Discussion
Huile sur carton
81 x 60 cm
Signé en bas à gauche « E. Carp »

Esther Carp est une artiste d’origine polonaise de l’Ecole de Paris. Elle naît à Skierniewice, non loin de Lodz, et grandit dans une famille de musiciens de confession juive. Son père, violoniste, et ses sœurs jouent régulièrement au sein d’un orchestre local. Très tôt, Esther Carp se distingue et manifeste un vif intérêt pour la peinture. Esther Carp étudie dans une école de dessin à Vienne puis émigre à Paris en 1925. Soutenue par Léopold Zborowski, elle obtient sa première exposition individuelle en 1931. De 1931 à 1935, elle retourne en Pologne et participe à la vie artistique polonaise, notamment à Lodz et Varsovie. L’artiste revient à Paris en 1935 où elle sera hospitalisée en hôpital psychiatrique pendant la Seconde guerre mondiale. La déportation de ses sœurs qui périssent en camp de concentration, provoque en elle une forte paranoïa qui la suit jusqu’à la fin de sa vie. De 1941 à 1963, elle vit dans le quartier Saint-Germain-des-Prés et alterne entre son domicile et hospitalisations. Esther Carp continue néanmoins, à la fois chez elle et en hôpital, à peindre et réaliser des dessins.

« Esther Carp, une peintre polonaise à Paris »

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
12 rue de la Grange Batelière 
75009 Paris
Joséphine BEAUDOUIN (1909-2005) Insectes Techniqu Joséphine BEAUDOUIN (1909-2005)
Insectes
Technique mixte sur marbre
37 x 55 cm (à vue)
Signée en haut à droite

Joséphine Beaudoin voit le jour à Albi en 1909. Elle fait très vite connaissance avec les milieux artistiques et
intellectuels à Paris. Sa mère y tenait salon et recevait le marchand de tableaux Ambroise Vollard, la romancière Colette, les peintres Favory, Dignimont et Touchagues... Formée à l’école des Beaux-Arts de Paris, l’artiste aime l’art de la fresque et du dessin. Son œuvre minutieuse et onirique est empreinte de mystère et porte le sceau d’une personnalité hors norme. Jean Cocteau l’avait d’ailleurs, amicalement surnommée « l’ensorceleuse ». Elle réalise à partir de 1955 des œuvres sur plaques de marbre, œuvres « marmoréennes ». Le terme « Marmorée » est inventé par le critique d’art René Barotte pour définir ces œuvres sur marbre dont elle utilise les veines et le grain pour représenter des motifs baroques et des visions fantastiques. Ces compositions insolites et poétiques, comme notre œuvre « Insectes », nous révèlent un monde étrange constitué de formes sophistiquées en pierres, véritable royaume des scarabées, à mi-chemin entre le surréalisme et le fantastique. Joséphine Beaudoin reçoit de nombreuses commandes publiques et privées dès les années 1930. L’artiste décore la salle des États albigeois à l’hôtel de ville d’Albi, le palais du Grand Conseil à Dakar en 1950, le paquebot « France »., l’usine Descamps à Malines en 1955.

Le cabinet Chanoit se propose de faire redécouvrir des artistes du XIXe-XXe siècle. Néo-classiques, romantiques, réalistes, pré-impressionnistes, symbolistes et artistes de la Réalité Poétique sont exposés dans ce cabinet familiale installée depuis une vingtaine d’années à Drouot. Frédérick Chanoit et sa fille Pauline Chanoit, experts en ventes publiques, sont aussi à votre disposition pour expertiser et inclure vos tableaux, dessins et sculptures dans leurs ventes à venir, à Drouot et en province.

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
12 rue Drouot
75009 Paris
Marie RAYMOND (1908-1988) Regard sur l’Orient Ci Marie RAYMOND (1908-1988)
Regard sur l’Orient
Circa 1955
Huile sur toile
38 x 46 cm
Signé en bas à droite et titré sur le châssis

Marie Raymond est une des grandes peintres françaises, abstraite de l’après- guerre, et également la mère du célèbre plasticien Yves Klein.
Elle s’est vue décerner en 1949 le prix Kandinsky et fera partie des artistes de la prestigieuse galerie Denise
René. Elle réalise des «  paysages imaginaires » au travers d’une composition abstraite géométrique. Dans cette œuvre intitulée « Regard sur l’Orient » les formes structurées, les couleurs vives, l’utilisation audacieuse de la lumière et de la texture nous transportent dans un voyage sensoriel. L’œuvre se révèle comme une fenêtre ouverte sur ces contrées lointaines d’orient. Elle a réussi à construire dans son œuvre un monde architecturé qui se déploie entre rigueur et émotion.

Installée dans le paysage parisien depuis trente ans, la Galerie AB, fondée par Agnès Aittouares, offre un espace d’exposition où la peinture et le dessin dominent, toutes époques confondues. Y est présenté un vaste éventail d’œuvres se déployant de Pissarro à Soulages en passant par Foujita, Matisse, Gleizes, Debré, Picasso, Hélion, Zadkine, Hartung, Kupka, Schneider, Dali, Calder, Survage,
Lanskoy, Bonnard, Vuillard, etc. ; Animée d’une insatiable soif de découvrir, Agnès Aittouares vit son métier comme une véritable « chasse au trésor ». De formation classique en dessin ancien, c’est surtout dans l’œuvre sur papier que s’affirme sa sensibilité. Pas de repentir, pas de flatterie par le biais d’une couche picturale, le dessin révèle le premier jet, la première impulsion et nous place dans l’intimité du geste créateur. La Galerie est présente sur plusieurs salons internationaux : la BRAFA à Bruxelles, FAB et le Salon du Dessin à Paris.

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
14 rue de la Grange Batelière 
75009 Paris
Sonia DELAUNAY (1885-1979) Projet de tissus dit « Sonia DELAUNAY (1885-1979)
Projet de tissus dit « simultané »
Gouache sur papier
23.5 x 14.5 cm
Cachet de la collection Robert Perrier au dos
Provenance : Schneider Marconi annoté au dos à la plume

Robert Perrier et Sonia Delaunay collaborent dès 1925 à l’exécution de tissus. Sonia Delaunay en 1925 présente ses tissus dans la « boutique simultané » installé sur le pont Alexandre III pendant l’exposition des Arts Décoratifs de 1925. Sonia Delaunay sera la première femme a inventé le « total look » en créant des tissus qui accorderont
vêtements, coussins, intérieur de voiture ….
Annotations issues de la liste établie entre R Perrier et S Delaunay pour la vente de 1942 puis transmis et
cédés par madame Robert Perrier.

Installée dans le Quartier Art Drouot depuis plus de 25 ans, la Galerie Sophie Marcellin est aujourd’hui au cœur de l’écrin qu’est le Passage Verdeau. La galerie présente en permanence des œuvres sur papier, anciens à nos jours, des artistes voyageurs des 19ème et 20ème siècle soit en dessins, peintures ou sculptures. La proximité de l’hôtel des ventes Drouot confère aux galeries du Quartier un sérieux et une exigence que les visiteurs attendent. La clientèle internationale prouve la référence mondiale obtenue au fil des années. La galerie prépare quatre expositions par an dont des salons parisiens. 

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
20 passage Verdeau
75009 Paris
Margueritte LOUPPE Le Cirque Circa 1945 Tapisserie Margueritte LOUPPE
Le Cirque
Circa 1945
Tapisserie d’Aubusson tissée par l’atelier Pinton
193 x 235 cm

Femme-peintre, Marguerite Louppe épouse Maurice Brianchon en 1934. Elle l’assistera régulièrement dans la réalisation de grandes décorations murales; de la même façon, quand Jacques Adnet sollicite Brianchon pour concevoir des cartons de tapisserie dans les années 40, Louppe en fournira elle-même. Le style (perspective, dégradés,…), les thèmes (cf.« les petits métiers de Paris », tissé aux Gobelins), renvoient au grand décor classique « à la française » dont Adnet et la Compagnie des Arts Français se voulaient l’incarnation : bientôt, Lurçat et ses suiveurs balaieront cette esthétique, aux réussites pourtant manifestes.

Sébastien Meunier, spécialiste de la tapisserie moderne, souhaite vous faire partager sa passion pour cet art méconnu, qui connaît au XXe siècle une véritable renaissance, avec des artistes comme Lurçat, Dom Robert,
Matégot, Calder et bien sûr Saint-Saëns. Les œuvres qu’il présente ont toutes été tissées à la main, la plupart à Aubusson. Elles sont visibles dans son espace rue Drouot.

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
11bis rue Drouot 
75009 Paris
Marguerite Burnat-Provins (1872 – 1952) La mort Marguerite Burnat-Provins (1872 – 1952)
La mort aux oiseaux
Circa 1915
Aquarelle et gouache sur trait de mine de plomb sur papier beige
505 x 415 mm
Signé en bas à droite

L’œuvre de Marguerite Burnat-Provins, stupéfiante, fertile, riche de fantaisie audacieuse et d’une folle variété, mêlant à sa peinture, articles, conférences, poésies, romans, chansons, broderies, affiches, fut longtemps relégué par les hommes, à une simple figuration, hallucinatoire et fascinante. Lorsque le 4 août 1914, au premier coup du tocsin, les dessins incantatoires de cet artiste confirmée,
femme engagée et fragile, grave et sensuelle, naquirent avec la déclaration de guerre. Sans cesser d’écrire et publier, Marguerite Burnat-Provins y travaillera jusqu’à sa mort en 1952, elle les regroupera sous un titre « Ma Ville »

La galerie Laura Pecheur présente les maîtres du trait du XVIe siècle jusqu’au début du XXe. Elle organise régulièrement des expositions monographiques et thématiques avec des artistes connus et d’autres à découvrir.

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
16 rue de la Grange Batelière , sur cour à droite
75009 Paris
Rina BANERJEE (1963) Sirène, 2010 Technique mixte Rina BANERJEE (1963)
Sirène, 2010
Technique mixte sur papier
38,2 x 28,5 cm
Signé au dos
Provenance : Galerie Nathalie Obadia, Paris

Née à Calcutta en 1963, Rina Banerjee a été élevée à Londres et vit maintenant à New York. Elle devient d’abord ingénieur avant de se tourner vers les Arts Plastiques et obtient le diplôme de Yale (MFA). A travers ses œuvres, Rina Banerjee dénonce le paradoxe de l’Inde d’aujourd’hui, celle qui s’ouvre ardemment à l’économie globale et qui reste fidèle et figée à ses principes ancestraux, comme le système des castes. On est frappé par la manière si subtile que Rina Banerjee a d’utilisé les matériaux et les couleurs, pour en faire à la fois des compositions originales avec un discours engagé. Rina Banerjee est aussi l’ingénieur de la couleur et des compositions. Dans les dessins, sur lesquels l’artiste dessine des corps sensuels, Rina Banerjee y explique la contamination, la résistance du corps et autres corps : c’est une métaphore du corps de la femme bien souvent bafoué en Inde comme ceux des misérables et des corps des colonisés eux aussi longtemps entravés. Les œuvres de l’artiste font partie de nombreuses collections privées et publiques telles que le Whitney Museum of American Art, New York, NY ; Musée d’art moderne de San Francisco, San Francisco, Californie ; Centre Georges Pompidou, Paris, France ; Académie des Beaux-Arts de Pennsylvanie, Philadelphie, Pennsylvanie ; musée du Queens, Queens, New York ; et le Brooklyn Museum, Brooklyn, New York.

La galerie est située en plein cœur du quartier Drouot et propose une sélection d’œuvres des grands et petits
maîtres modernes, post modernes, de la fin du 19 -ème jusqu’à nos jours. Nous accordons une large place aux artistes de l’école de Paris, aux artistes étrangers ayant vécu en France ainsi qu’à l’avant-garde Russe et européenne.
D’autres part la galerie s’attache à faire découvrir ou redécouvrir des œuvres, principalement de la mouvance
abstraite, d’artistes internationaux des années 1950 à nos jours. Nous présentons aussi régulièrement une sélection d‘œuvres d’artistes asiatiques et indiens.

Vernissage jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
2 rue de Provence 
75009 Paris
Hortense Haudebourt-Lescot (Paris 1784 – 1845) L Hortense Haudebourt-Lescot
(Paris 1784 – 1845)
Le Lavement de pieds
Circa 1825
Aquarelle et mine de graphite
20 x 24 cm ; 34 x 43 cm
Signé ‘Haudebt Lescot’ en bas à gauche
dans un cadre ‘Empire’ à décor de palmettes

Hortense Haudebourt-Lescot fait ses armes auprès du peintre Guillaume Guillon-Lethière. En août 1816, Hortense Lescot est nommée peintre de Marie-Caroline de Bourbon, duchesse de Berry. Arrivée en France quelques mois plus tôt, la princesse italienne épouse le duc de Berry, fils de Charles X, le 17 juin de la même année. Notre artiste expose régulièrement au Salon entre 1822 et 1840 et ouvre un atelier de peinture réservé aux femmes, où se rend la noblesse parisienne. Depuis quelques années, et en particulier suite à la vente de son Autoportrait à la palette, il est heureux de constater que l’œuvre de cette femme artiste de talent bénéficie d’un regain d’intérêt important.
Dans un intérieur richement décoré, certainement un palais romain, une femme issue de la haute noblesse italienne lave les pieds de paysannes. Ce geste, accompli en mémoire du lavement des pieds des apôtres par Jésus-Christ est une marque de respect. Réalisé un style typiquement troubadour, ce dessin souligne également le besoin qu’avaient alors les nobles de s’acquitter de leurs obligations morales.

La galerie Artwins présente une sélection de dessins, estampes et tableaux essentiellement du XIXe siècle, s’inscrivant dans une veine ‘fin-de-siècle’, à la fois symboliste et art nouveau, mais également romantique, et même comique ! Vous y trouverez de nombreuses œuvres en écho avec des sujets connus de la littérature et de l’opéra, réinterprétés par les artistes de l’époque.
L’intention est également de permettre à certains artistes oubliés, notamment des femmes ou des artistes étrangers, de retrouver leurs lettres de noblesse.
Les œuvres qui vous sont proposées sont soigneusement sélectionnées pour leurs qualités plastiques et historiques, chacune faisant l’objet de recherches approfondies.

Vernissage Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
16 rue de la Grange Batelière, sur cour à gauche
75009 Paris
Anne RUTTEN (Lanaken 1898 – 1981 Waterschei) En Anne RUTTEN (Lanaken 1898 – 1981 Waterschei)
En Attendant la Procession
Aquarelle et gouache, fusain et traits de crayon noir sur carton
575 x 460 mm
Signé en bas à gauche

Peintre Belge de portraits, de marines et de scènes de genre, Anne Rutten fut élève de l’artiste symboliste
Constant Montald à l’Académie de Bruxelles, puis du peintre mondain Jos Damien, dont elle deviendra l’épouse.
De 1935 à 1967 elle réalisera un nombre impressionnant de portraits de dignitaires et de notables, dont les membres de la Famille Royale de Belgique, la Cour Princière du Luxembourg ainsi qu’au Vatican. Elle fut Membre du Cercle De Heecrabbers.
Notre beau dessin est à relier avec une composition peinte intitulée Portrait de Famille. Cette œuvre d’Anne Rutten se concentre sur l’intimité domestique d’une mère solitaire, entourée de ses quatre enfants, dont trois seulement figurent sur notre dessin. L’artiste capte avec beaucoup de délicatesse et de force cet univers féminin, avec une attention particulière à la psychologie de l’enfance. Les regards sérieux et empreints de mélancolie des deux fillettes aux yeux sombres fixant le spectateur contrastent avec l’innocence aux yeux bleus de la plus petite protégée par l’aînée. Nous est ici présenté une scène emprunte de piété et de recueillement, où le lien à Dieu semble compenser l’absence paternelle.

D’esprit symbolique et religieux, la galerie du Cloître de l’Art comprend une sélection de dessins et gravures, de peintures et d’objets d’arts majoritairement des XIX et XXème siècles. Œuvres mystiques et oniriques, fruits d’une sélection singulière et méditée, chacune constitue une ode à la beauté du monde sans omission à ses noirceurs sublimées. Encadrés avec soin et originalité, la gaité d’aquarelles folkloriques côtoie le sérieux des lignes Ingresques, contrastés par les mystères du symbolisme et l’exotisme passionné de l’âme slave. La galerie s’expose depuis 2023 au Salon du Livre Rare et de l’Estampe à Paris.

Vernissage le Jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
16 rue de la grange Batelière, sur cour à gauche 
75009 Paris
Park In-Kyung (1926) Galets 2, 2024 Encre sur papi Park In-Kyung (1926)
Galets 2, 2024
Encre sur papier coréen traditionnel (hanji)
50 x 50 cm

Park In-Kyung née en Corée et installée en France depuis 1960, aspire très vite à se détacher de
l’enseignement traditionnel qu’elle a reçu pour déployer son inventivité.
Des mouvements fluides et des touches assurées de son pinceau, Park In-kyung fait naître des formes simples, presque abstraites, qui viennent chanter son ode à la nature…

Sabine Vazieux profite de l’événement « Femmes Artistes » au Quartier Art Drouot pour inaugurer son second espace dans le quartier Drouot. La galerie est dédiée aux artistes historiques européens et asiatiques ayant travaillé au XXème siècle.
« Je souhaite avoir une approche ouverte sur l’art de cette période, créer un dialogue entre la
céramique, les arts décoratifs et la peinture » déclare Sabine Vazieux.

Vernissage jeudi 10 Octobre à partir de 17h30
16 rue de Provence 
75009 PARIS
« Femmes Artistes » Cette année le Quartier c « Femmes Artistes »
Cette année le Quartier célèbre les femmes artistes;
Vous allez pouvoir découvrir des œuvres poétiques, symbolistes, classiques, contemporaines ou encore
engagées…

Du 10 au 19 Octobre 2024
Vernissage le 10 Octobre à partir de 17h30
Vernissage du « Dessin au Quartier Drouot »
L’événement se poursuit jusqu’au 27 mars
Vernissage du « Dessin au Quartier Drouot »
L’événement se poursuit jusqu’au 27 mars
Dessin au Quartier Drouot Vernissage jeudi 14 mars Dessin au Quartier Drouot
Vernissage jeudi 14 mars à partir de 17h30 
Du 14 au 27 mars 

Venez découvrir les galeries du quartier autour de l’évènement du dessin
L’Etude Ader présente LE CORBUSIER (1887-1965) L’Etude Ader présente 
LE CORBUSIER (1887-1965)
Charles-Edouard Jeanneret
𝘛𝘢𝘶𝘳𝘦𝘢𝘶
1961
Collage sur papier de couleur, papier lithographié et
papier journal gouaché, réhaussé à l’encre de Chine
sur papier vergé
55,5 x 43,5 cm
Monogrammé et doublement daté en bas à droite

Vernissage Jeudi 14 mars à partir de 17h30 
Du 14 au 27 mars 

Conférence avec Éric Mouchet le 18 mars 

Ader
17 rue de la Grange Batelière 
75009 Paris
L’étude Millon présente Léonard FOUJITA (Tok L’étude Millon présente 
Léonard FOUJITA (Tokyo 1886 – 1968 Zurich)
𝘗𝘰𝘳𝘵𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘦 𝘫𝘦𝘶𝘯𝘦 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦, 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘧𝘪𝘭
1928
Signé à droite et daté 1928
Estimation : 10/15 000€
Vente le 26 mars à 14h30

Vernissage Jeudi 14 mars à partir de 17h30
Du 14 au 27 mars 

Étude Millon 
1 rue Rossini 
75009 Paris
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The Quartier Art Drouot is a collective of art galleries and experts located in the 9th arrondissement of Paris, France. It is known for its vibrant art scene and hosts various events and exhibitions throughout the year.

One of the notable events held in the Quartier Art Drouot is the celebration of drawing. Every year, the galleries in the area organize a rich and diverse program dedicated to drawing, showcasing the works of talented artists.

The Quartier Art Drouot is home to several galleries and experts, including the Librairie du Passage, Galerie Amicorum, Le Comptoir des Estimations, Cabinet d’Expertise Chanoit, Galerie Véronique Prévôt, Galerie AB, Marek and Sons, Atelier 29, and Galerie Montfort.

The Quartier Art Drouot also collaborates with other institutions and organizations to promote art and culture. For example, the Hôtel Drouot, an auction house, often partners with the galleries in the Quartier Art Drouot to offer unique experiences and exhibitions.

Overall, the Quartier Art Drouot is a vibrant and dynamic art district in Paris, offering a diverse range of artistic experiences and showcasing the works of talented artists.

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